mercredi 12 novembre 2025
mardi 4 novembre 2025
dimanche 26 juin 2022
En la contrée la plus sauvage de France, derrière les bouts du monde de St Mélany Dompnac Chastenet (Valgorge),dans le périmètre de la bête du Gévaudan, bordé par sa veine de quartz se trouve le site exceptionnel du Ron des Fades (rocher des fées).
Le parcours sous la châtaigneraie enchantée vous fait entrer dans un conte de fée pour petits et grands, pour arriver dans la clairière magique où le créateur du lieu Pierre BOUVAREL poète paysan vous enchantera .
Le pic des Fées.
Maison forte
L'éveil de la fée.
samedi 16 décembre 2017
La châtaigneraie enchantée
Dans ce sous-bois,entre châtaigniers multi-centenaire et murettes du même âge, vous rencontrerez des sculptures, du land art, des illustrations, de l'art brut, créations de GIO, Alesio Vanni, Christian Obry, Crescence, Igor Robin, Pierre Bouvarel.
Pépé la bûche
Prenez votre temps
Magique image
Piège
La Bête du Gévaudan
Pépé la bûche
Prenez votre temps
Piège
La Bête du Gévaudan
jeudi 4 mai 2017
Le Ron des Fades en Français le pic des fées.
Elle surplombe le ruisseau : une veine de quartz sépare le pays en 2 natures de terrain. Telle une sentinelle ou une énigme, ce pic de quartz en forme de sphinx vous ouvre le royaume des sources et du merveilleux.
Profitant de cette situation exceptionnelle, le maître du lieu Pierre Bouvarel, conjuguant nature, patrimoine et merveilleux, a animé ce territoire où l'esprit créatif se libère.
Sur la colline en face, la Chapelle Saint Régis continue de recevoir par ses sentiers moult sortes de pèlerins.
En ligne d'horizon le mont Lozère nous annonce le temps à venir.
La visite débute par un parcours en sous-bois (300m); dans cet étonnante châtaigneraie aux arbres multicentenaire, vous rencontrerez des sculptures, du land art, des peintures, des illustrations : de la surprise ?
Vos pas vous conduiront jusqu'à la clairière où niche le village miniature de Drobie-Lauze.
Cette œuvre au 1/12 a pris pour modèle le pays qui l'entoure.
C'est un florilège des villages de cette particulière vallée de la Drobie.
La visite en boucle se termine par la galerie champêtre.
Le village de Drobie -Lauze .
Profitant de cette situation exceptionnelle, le maître du lieu Pierre Bouvarel, conjuguant nature, patrimoine et merveilleux, a animé ce territoire où l'esprit créatif se libère.
Sur la colline en face, la Chapelle Saint Régis continue de recevoir par ses sentiers moult sortes de pèlerins.
En ligne d'horizon le mont Lozère nous annonce le temps à venir.
La visite débute par un parcours en sous-bois (300m); dans cet étonnante châtaigneraie aux arbres multicentenaire, vous rencontrerez des sculptures, du land art, des peintures, des illustrations : de la surprise ?
Vos pas vous conduiront jusqu'à la clairière où niche le village miniature de Drobie-Lauze.
Cette œuvre au 1/12 a pris pour modèle le pays qui l'entoure.
C'est un florilège des villages de cette particulière vallée de la Drobie.
La visite en boucle se termine par la galerie champêtre.
| Le pic des fées. Les 2 chapelles . Clin d'oeuil au mont Lozère. |
| C'est un cygne . |
Le village de Drobie -Lauze .
| Place du village. |
lundi 20 avril 2015
mercredi 31 juillet 2013
Histoire du Pays de la Drobie
Voici quelques éléments d’histoire locale qui vous aideront à mieux comprendre ce Pays.
Dans
les années 1850, la vallée de la Drobie, soit les communes de
Sablières, Dompnac, St Mélany et pour moitié Beaumont et St André
Lachamp, comptait plus de 3 000 habitants ; on était alors au maximum de
la population de cette vallée, une véritable ruche d'abeilles qui
s'affairaient de tous côtés.
On
augmentait la surface des terrasses, on construisait chapelles, ponts
et pontets et l'arbre à pain : le châtaignier, était le principal
responsable de l'extension démographique car ses fruits fournissaient
une part importante de la nourriture de la maisonnée : humains et
animaux toute l'année et leur commercialisation sous forme de fruits
séchés : les cruzes, rapportait l'argent nécessaire.
Toute
la surface du pays était utilisée : les pentes étaient cultivées grâce à
la construction des terrasses, les faysses, ou faïsses qui, telles des
escaliers géants, s'étageaient sur les flancs de la montagne et partout
où l'on trouvait des terrasses, le terrain était labouré.
Quelles
étaient les cultures ? les châtaignier, bien sûr, mais mais dans les
parties basses de la vallée on trouvait des oliviers, des vignes et
grâce à l'assolement triennal : pommes de terre, céréales (orge et
seigle),pois chiche, jardins potagers, arbres fruitiers ; le long des
ruisseaux et des rivières étaient les prairies de fauche, avec un
important réseau de canaux et de rigoles d'eau : les béalières et les
moulins qui jouaient un rôle important dans cette irrigation.
Outre
les animaux de basse-cour, coutumiers aux fermes, on pratiquait
l'élevage ovin et caprin : les moutons étaient plus nombreux dans la
partie haute, au-dessus des châtaigniers, vers 800 mètres, les montagnes
étaient couvertes de prés et de landes herbeuses pour la pâture.
Et
n'oublions pas l'élevage du ver à soie et la présence de nombreux
ruchers. Vers 1850, la seule langue pratiquée était la langue des
habitants du pays, une langue orale, l'une des nombreuses variantes de
l'occitan. Le français n'était connu que de très rares personnes dont le
curé et l'instituteur qui tenait l'état civil.
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